Alors, il est convenable contextuellement de faire un peu de mécanique psychanalytique, plutôt d'orientation ethnosociale dans ce cas-ci, basiquement et vulgairement. Et oui, je suis aussi formé, d'une façon accélérée, du trois en un, dans ce domaine qui me passionne pour me permettre d'en glisser un point ou deux de temps en temps, sans que je ne prétende détenir la toute vérité ni tout comprendre. Pourtant, je suis le dieu des dieux sur cet infinitésimal grain de poussière dans l'espace. "Ha! Ha! Ha!", en a-t-elle rigolé. Pr Madjid Boutemeur est le premier vice-dieu et Pr Hacène Ziani le deuxième mais ils déraillent un petit chouïa eux aussi depuis quelques temps parce qu'ils ont une dent bien pointue tel un croc contre leur ancien chef adulé et ont changé de cap pour des raisons qui les concernent. Cela est connu publiquement et ce sont eux qui l'étalent et pas moi. Pour ma part, je ne dirai strictement rien du reste jusqu'à ma mort. À mes yeux, ce sont tous mes aînés, membres de mon peuple, et je respecte chacun à sa juste valeur comme il le mérite. Je n'ai ni secte ni clan ni parti ni maître ni Tikkuk. Je ne rentre pas dans la vie privée des gens et je fuis quiconque le fait. Je suis littéralement revenu de l'au-delà à trois reprises, du plus profond des états comateux, sans nul signe vital pendant des jours et des jours, d'où l'on ne revient pas en principe, cliniquement parlant, et je ne m'en suis jamais plaint quand j'écoutais du monde se plaindre d'un autre à cause d'un mot de travers. Je suis encore de ce monde et si je suis revenu ce n'est pas pour manger de la vache qui rit ni avaler de la bêtise telle que celle qui encense le Hamas de Gaza, l'EI de Syrie, et consorts. Je ne juge ni ne condamne mais observe et narre. Pour certaines raisons évidentes, je le ferai en français qui m'est a fortiori la langue scientifique, quasi-native, la plus spontanée, un peu plus que l'anglais. Juste pour s'amuser à dessiner un piteux profil qui englobe un tas de monde déboussolé. Le monde concerné, du moins qui a encore des étincelles cérébrales, admettra entre soi et soi que c'est juste et précis. Hop! "One, two, three...", on entre dans la tanière. Tu es une personne maladivement arabophile et pro-Hamas. Certains appellent cela gauchiasserie, juste pour rire. Tu es profondément atteinte du syndrome de Stockholm entre autres qui te rend une vache folle. Tu es le pire ennemi de ton identité et donc de toi-même. Tes motivations couscoussières au zébib n'échappent à personne. Ce sont des choses mondaines que tout le monde comprend. Tu es endoctrinée à un stade avancé depuis la petite école. Tu crois, avec une certaine dose d'arrogance qui te caractérise, pouvoir influencer, voire manipuler, mais jusqu'à présent c'est toi qui l'es et tu en es inconsciente. Ton instruction soi-disant élevée ne te sert pas à grand chose dans ta vie personnelle. Le petit fellah illettré de jadis, soit-il ton grand-père ou ta grand-mère, dans un patelin perché entre montagne et ciel est ou était beaucoup plus clairvoyant que toi et surtout dignement plus authentique, loyal envers soi-même et les siens. Il est probablement trop tard pour y remédier: tu n'as plus seize ans depuis longtemps. Il faudra t'inventer une nouvelle science, radicale, pour que tu réapprennes les choses primaires comme quand on perd la parole et un électrochoc la redémarre. Parce que tu fais mille et un détour inutiles, encombrants, et usants pour une chose toute claire qu'un petit enfant sait appréhender tout seul sans consulter tous ses camarades, tous ses enseignants, et tous les habitants de son quartier en criant dans la rue. Par ailleurs, c''est bien que tu te valorises à juste titre mais pas que tu t'octroies l'importance que tu n'as pas. Il ne reste de ton identité native que ce que tu portes occasionnellement sur ta carcasse. Le fond en est vidé et substitué. En conséquence, le monde qui te convient est zélateur de Duldul, celui de Gaza entre autres qui, comme toi, est ridiculement plus arabe et plus musulman que le Roi d'Arabie. Au passage, sais-tu qu'il y a guerre et génocide chez toi au Soudan et ailleurs en Afrique depuis avant ta naîssance à ce jour? Ainsi, tu seras enfin jarya officiellement comme tes ancêtres durant les invasions dites foutouhates sauf qu'elles étaient forcées à l'épée contrairement à toi. Tu le sais au fond de toi même si tu ne l'admets pas dans le fouillis de contradictions, dissonances, trissonances, et autres plurissonances, que ta personnalité troublée comporte. C'est flagrant rien qu'à un coup d'œil. Tu prétends guider autrui mais c'est toi qui es perdue comme une bouteille en plastique au gré des courants dont le plus fort du moment t'emmène quelque part et te jette sur une quelconque plage après usage. D'un Mohamed Abou Zebda à un autre, tu sautes, et personne ne reste. On t'y en ramasse parfois pour te recycler quand tu peux encore être réutilisée ou t'enfouir dans un trou si tu ne sers plus à rien du tout et d'où tu dois te dégager toute seule. Tu ne sais même plus qui tu es ni ce que tu veux. Tu nages dans la chose et sa négation à la fois. Tu finiras ta vie en esclave avec du monde qui a envahi ta terre et ton esprit: c'est lui que ton profil attire et tu le défends en t'effaçant. Le monde de ton identité originelle qui se respecte te rejette et tu sais exactement les raisons. Tu essayeras de le regagner mais il est déjà trop tard pour toi à moins qu'un incroyable miracle ne survienne et recadre le cours de ton existence. Un jour, tu te libéreras de la cage que tu as construite pour toi-même, à ton tout dernier souffle. Veux-tu un conseil tellement basique? Vis paisiblement du mieux que tu puisses le faire et pars pareillement, sans crier sur tous les toîts. Ton vain bruit fanfaronnant le "M'as-tu vu?"et tout le reste trépassera comme même des empires trépassent depuis des temps immémoriaux. Même si tu as une couronne sur le crâne, ton crâne sera réduit en poussière comme un bout de bois. Il ne restera rien du tout sur terre ni ailleurs, ni une chanson, ni une idéologie, ni ta maison, ni la terre en soi, ni autre chose de tout l'univers. L'éternité est ailleurs et n'a rien à voir avec ce que racontent les religions particulièrement les trois grosses arnaques du mouton qui descend du ciel. La chose est toute simple à imaginer. Pose-toi cette question: qui se souviendra de moi après cent, mille, dix-mille, cent-mille, un million, un milliard d'années ou plus? La réponse, tu la connaîs: personne et personne ne restera à un certain temps. Alors, si tu as envie de marcher au bord de l'eau, va-y et c'est tout. Il est vrai que le moment est plus agréable, peut-être divin, quand quelqu'un que tu aimes et qui t'aime, vraiment, candidement, te tient la main et t'embrasse. Ensuite, on conçoit un prophète dans les buissons comme Marie de Nazareth et l'autre. Passe un bon moment même toute seule juste parce que l'on doit vivre avant de mourir surtout quand on fait des enfants et doit en prendre soin aussi. N'écoute jamais les grands penseurs tels que Jean-Jacques Rousseau et autres Tartuffe qui ont écrit comment éduquer les enfants et ont abandonné les leurs sans les reconnaître alors que même les rats ne le font pas. Écoutes-tu encore Jean-Luc Abou Bakr qui attaquait le hijab hier et défend la burka aujourd'hui? Il défend sa khobza que tu lui payes. Mais, de toute évidence, tu as la mémoire d'une brebis. N'écoute que ton bon sens. Tu as loué ton libre-arbitre à des gourous qui décident à ta place jusqu'à comment te comporter dans ta vie personnelle y compris intime. À quoi te sert donc ton haut diplôme? Tu es soi-disant savant et ce sont des charlatans qui te commandent. Ils savent tout de l'au-delà et il a fallu que des scientifiques leur disent ce qu'il y a sous leurs pieds et comment l'extraire pour en fabriquer des choses facilitant la vie. Hé! Le soleil ne tourne pas mais la lune si et ainsi soit-il!